La VW Polo 1.2 TSI DSG prouve sur le long terme toutes les qualités qui en font le leader de son segment. Tellement plus capable qu'une simple citadine qu'on en viendrait à souhaiter qu'elle dispose de l'habitabilité de la catégorie supérieure. C'est ce mois d'octobre 2012 que ma Volkswagen Polo 1.2 TSI DSG Highline célèbre son deuxième anniversaire. L'occasion de faire le point dans le cadre de notre essai longue durée. D'autant que cette étape correspond au premier entretien prévu par le constructeur, permettant d'en savoir un peu plus sur ce qu'il coûte de rouler dans la citadine la plus vendue en Suisse, avec plus de 17'500 exemplaires écoulés ces trois dernières années. Cette popularité est peut-être bien le seul défaut de la Polo, en tout cas pour celle ou celui qui considère une voiture comme un moyen de se démarquer ou d'affirmer une certaine originalité. Mais l'audace n'est pas le propre des designers de Wolfsburg et le style certainement pas le premier critère de décision des clients de la marque. Les VW ont avant tout la réputation de bien faire ce pour quoi elles sont construites, et notre Polo ne déroge pas à la règle. Car pour tout dire le seul ennui recontré depuis notre premier article quelques 15'000 kilomètres plus tôt a été la réapparition, au ralenti, de vibrations au niveau de la boîte à gants. Du type de celles qui affectaient la voiture au moment de la livraison, nécessitant à l'époque une journée d'immobilisation en concession. Cette fois encore un passage à l'atelier a suffit à régler le problème. Lire la suite : www.asphalte.ch