Comme la quasi-totalité des secteurs, le marché de l’automobile est profondément modifié par la technologie. Au-delà des véhicules eux-mêmes, ce sont les façons de vendre qui sont ou doivent être réinventées. Internet, les réseaux sociaux et les technologies digitales mobiles changent de manière drastique le métier des concessionnaires et les stratégies des marques, qui tentent d’anticiper ces transformations pour rester compétitives face à l’arrivée de nouvelles tendances.
Selon l'analyste Ben Wood, cité par le quotidien belge Le Soir, le carsharing sera la norme en 2030. Pour lui, les jeunes nés l'an dernier seront les derniers à acheter un véhicule personnel.
Avec Mini Sharing, les propriétaires madrilènes de Mini testent une application permettant la mise à disposition de leur voiture personnelle à leurs connaissances.
En date du 8 mai 2018, François Bausch, ministre du Développement durable et des Infrastructures, et Camille Gira, secrétaire d’État au Développement durable et aux Infrastructures, ont présenté la nouvelle plateforme de covoiturage "CoPilote".
L'annonce a été faite le vendredi 27 avril : sans en préciser le montant, Blablacar a officialisé l'acquisition de Less, une startup spécialiste du covoiturage en temps réel et sur courte distance. C'est la volonté de s'approprier une équipe et une technologie de pointe qui a motivé cette décision.
Mobility Open Blockchain Initiative (ou Mobi) regroupe, en plus de ces constructeurs, des startups, des institutions et agences, mais aussi des industriels comme IBM, Bosch et Accenture. Le lancement de ce groupe de recherche a été annoncé ce 2 mai durant le Future Blockchain Summit, à Dubaï.
Avec un nombre de frontaliers qui ne cesse d’augmenter au Luxembourg, la mobilité devrait rester l’une des priorités du gouvernement pour les années à venir. En effet, de plus en plus de véhicules sur les routes, des trains bondés, et une législation pas encore totalement adaptée au télétravail rendent les trajets toujours plus pénibles. La coopération entre les ministres luxembourgeois et leurs homologues belges, français et allemands est pourtant bien engagée et si les idées fusent, de véritables solutions peinent à être trouvées. Au grand dam des frontaliers.
Comme d'autres, le constructeur américain souhaite proposer lui-même un service de taxis sans chauffeur plutôt que de vendre sa technologie de véhicules autonomes à des entreprises tierces et annonce un déploiement en 2021.
La startup française, focalisée sur le partage des trajets domicile-bureau, vient de terminer un deuxième tour de table à 4,2 millions d'euros. De quoi passer le développement de son application au niveau supérieur.
Alors que les services et offres de voitures partagées se multiplient dans le monde et au Grand-Duché, la tendance ne semble pas encore très populaire auprès de la population luxembourgeoise, selon un sondage TNS Ilres.