Du fait de la pollution de l'air, l'habitude des constructeurs à truquer les chiffres d'émissions de diesel pour paraître plus écologiques seraient responsables en Europe de 5000 décès par an selon une étude parue dans la revue "Environmental Research Letters".

Les chercheurs basés dans toute l'Europe, ont statué pour cette étude qu'environ 10 000 morts sont imputables tous les ans en Europe à l'émission de particules fines émises par les véhicules légers fonctionnant au diesel.

Près de la moitié d'entre elles, si les émissions d'oxyde d'azote avaient été les mêmes que celles observées en laboratoire sans aucun moyen de tromper l'évaluation, auraient pu être évitées.

Les pays avec les plus forts taux de décès liés aux émissions de particules fines sont ceux ayant la plus grande concentration de véhicules diesel sur leurs territoires, soit l'Allemagne, l'Italie et la France.