Un an après une annulation, la Formule 1 a décidé de revenir à Bahreïn malgré une situation politique toujours instable. Côté piste, Mercedes et Nico Rosberg tenteront de confirmer leur victoire en Chine.

Les enjeux :

Fallait-il venir ou non à Bahreïn ? La question divise à chaque fois que le sport se confronte à la politique. D'un côté, l'on dénoncera la F1 utilisée comme outil de propagande au service d'un pouvoir controversé. A l'inverse, le porte-voix médiatique du grand barnum automobile est une opportunité donnée aux révoltés de faire entendre une voix étouffée. Au milieu de tout cela, se pose la question de la sécurité. «Les gens disent que nous pouvons garantir la sécurité, mais bien sûr que non, nous ne pouvons garantir cela. Je serais un imbécile si j'affirmais le contraire. Est-il possible que des gens envahissent la piste ? Bien sûr que oui, c'est un événement ouvert à tous», prévient John Yates, conseiller auprès du gouvernement de Bahreïn, dans The Guardian.

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