L'Opel Astra GTC cache sous sa très élégante robe un chassis qui peine à encaisser le couple de son moteur 1.6L Turbo 180ch. Un tableau dynamique que l'Opel contraste avec d'autres qualités et défauts.
La mémoire. Une des facultés les plus mystérieuses de notre cerveau encore largement incompris. Hormis la mémoire purement intellectuelle (se rappeler une soirée, un texte, ou le fonctionnement d’un appareil), on sait qu’elle se décline notamment en relation avec nos cinq sens.
Si la mémoire visuelle est largement employée quotidiennement pour nous permettre de nous mouvoir aisément dans notre espace, tout comme notre mémoire auditive est sans cesse sollicitée, en commençant par les cours que l’on suit dès notre enfance, il n’en va pas de même pour nos trois autres sens. Une fois franchi le cap de l'adolescence, il est rare que notre sens du toucher, comme celui du goût, ait à mémoriser de nouvelles sensations. Mais de nos cinq sens, s’il en est un bien étrange et qui nous ramène à notre condition animale, l’odorat est celui qui a le plus de pouvoir sur nous. Constamment stimulé, qu’on le veuille ou non, il peut déclencher une foule d’émotions et de modifications dans notre comportement, bien souvent inconsciemment. Basculant alors soudainement dans un univers au ralenti tandis que la porte de cette Astra GTC s’ouvre devant moi, j’ai le temps durant une fraction de seconde de sentir que mon cerveau remue de vieux tiroirs, et mené par mes récepteurs olfactifs, je replonge instantanément dix ans en arrière.
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