Présent en Afrique du Sud, et notamment à Johannesburg depuis août 2013, le géant du VTC s'est depuis étendu à plus d'une dizaine de villes, dont Le Caire, Casablanca ou encore Lagos. Uber vise désormais le Sénégal et la Côte d'Ivoire.

 

Uber rencontre à l'heure actuelle un souci majeur à son développement : la couverture en réseau mobile 3G, très limité lorsqu'on sort des grandes agglomérations africaines. Le recrutement des chauffeurs est également différent : Uber a adapté son processus de sélection. Les chauffeurs doivent obtenir un permis spécifique, après vérification du casier judiciaire. Alon Lits, Directeur Général d’Uber en Afrique subsaharienne, ajoute : " Nous avons mis en place un système de recommandation – quelqu’un doit se porter garant pour le chauffeur – et nous développons un test psychométrique pour mieux cerner les candidats". Par contre, Uber ne devrait pas proposer un service réservé aux femmes…avec des chauffeurs exclusivement féminins.

 

Cette présence d'Uber ouvre également la voie pour le développement de ses services annexes, tels qu'UberEats, lancé il y a peu aux Etats-Unis et en Europe.