C’est le printemps, paraît-il. Sans attendre que la météo se mette définitivement au diapason du calendrier, la dernière réincarnation de la Volkswagen Coccinelle enlève le haut, un peu plus d’un an après son lancement. Et de trois cabriolets dans la gamme Volkswagen. Après l’Eos et son rassurant toit rigide escamotable, la Golf Cabriolet et son élégante capote toilée, voici le retour de la Coccinelle Cabriolet, sous des galbes rétros encore plus glamour que sur son premier remake (lancé en 2001 pour la version découvrable).

Comme le coupé, dont il partage la plate-forme de Golf VI et les dimensions (4,28 m de long sur 1,81 m de large), le cabriolet se distingue par une ligne subtilement plus agressive que le modèle qu’il remplace. L’auto semble toujours sortie tout droit d’un cartoon et son capital sympathie reste intact, mais elle arbore à présent une silhouette lorgnant sur le speedster avec un pare-brise court et vertical et un becquet arrière de série (comme sur le coupé). En outre, ni les coloris pop ni les jantes vintage ne manquent au catalogue pour agrémenter cette belle allure, notamment via les séries spéciales de lancement 50′s, 60′s et 70′s Edition. Dans l’habitacle, les matériaux s’avèrent étonnamment quelconques par rapport aux standards européens de la marque. L’assemblage reste heureusement soigné et le charme rétro de l’ensemble, notamment grâce à la batterie de manomètres (optionnels) qui surmonte la planche de bord, aux inserts ton caisse ou aux filets en guise de bacs de portière, se révèle parfaitement cohérent avec celui de la carrosserie.

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