À l’image de Martine, héroïne de livres pour enfants, la Mini est devenue une sorte de personnage multipliant les expériences. Après la ville, la route, la campagne et la plage, Mini fait du sport avec ce Roadster.
Entre la berline , le break Clubman , le cabriolet quatre places, le SUV Countryman , le Coupé et, enfin, ce Roadster, la petite anglaise est une grande gamme à elle toute seule. Animée comme un dessin, surdessinée pour en mettre plein la vue, Mini surfe sur son succès comme si de rien n’était. Elle laisse la crise derrière elle, se contentant de faire cracher à ses HP signés Harman Kardon (option) "Crisis ? What Crisis ?" de Supertramp. Et ça donne ! Le compteur central démesuré ne laisse planer aucun doute : nous sommes bien à bord d’une Mini (trop n’est jamais trop !). À cette différence que, une fois le nez au vent, on ne peut plus rien lire sur l’ordinateur de bord lorsque le soleil est de la partie. Ce qui, en général, coule de source avec une découvrable. Peu importe, le Roadster met d’abord l’accent sur sa sportivité. Pas de "petit" moteur à son bord, la gamme débutant avec la Cooper de 122 ch. Pour l’heure, nous disposons de la Cooper S dotée du 1.6 de 184 ch. Une belle pièce, étudiée par BMW avec PSA, et qui ne lésine pas sur la technologie.
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