Le Roadster s'adresse à une clientèle plus sportive que celle de la Mini Cabriolet. Plus rigide et plus amusant à conduire, il pâtit en revanche — sur cette version Cooper —, du manque de réactivité de sa boîte automatique à 6 rapports.
Six mois après l'essai du Mini Coupé, le constructeur en présente aujourd'hui la version roadster. Un timing parfait avec l'arrivée des beaux jours. Alors vous me direz, en quoi le Roadster se distingue-t-il vraiment de la Mini Cabriolet, qui rencontre déjà un beau succès ?
PLUS SEXY QUE LE COUPÉTout d'abord, et à l'instar du Coupé, le Mini Roadster s'adresse prioritairement à une clientèle masculine, et que l'on imagine célibataire (!) D'ailleurs, les lignes se sont virilisées grâce au pare-brise incliné de 13 degrés, à la hauteur et à la longueur légèrement réduites (-2,1 cm en hauteur et -0,5 cm en longueur) et bien sûr ces superbes arceaux polis. En configuration fermé, le Roadster offre d'ailleurs une ligne plus réussie que celle du Coupé, dont le dessin du toit alourdit quelque peu la ligne. Il faut dire que la capote en toile s'intègre très bien. A noter d'ailleurs que le Mini Roadster ne bénéficie pas d'une capote électrique de série. Il faudra pour cela investir dans le Pack Always Open (capote semi-électrique, filet anti-remous, sièges chauffants) à 1.200 euros. Pas indispensable, d'autant que le maniement de la capote manuelle est assez aisé à l'ouverture. Moins à la fermeture.
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