Après le nouveau Range, c'est au tour du Freelander de se dévoiler. Mais il ne s'agit que d'un très léger restylage.
Si le Range Rover est une vraie nouveauté puisque entièrement conçu sur une nouvelle plate-forme (lire notre article), le Freelander 2 n'en est pas encore là et se contente d'une petite séance cosmétique. Dommage, car il aurait bien droit à une vraie nouvelle génération, puisqu'il avoue déjà ses six ans d'âge et avait déjà revu son style et ses motorisations en 2010. Mais il ne faut pas trop faire de concurrence au récent Evoque qui, lui, emprunte d'ailleurs sa plate-forme.
Nouvelle signature visuelle Au menu des petites touches de design, ce sont surtout les nouvelles optiques avant et arrière avec feux à led qui "signent" l'identité visuelle du Freelander, l'intégrant un peu plus dans le reste de la gamme. À l'intérieur, on aurait pu s'attendre à une nouvelle planche de bord, celle de l'Evoque, par exemple, mais il s'agit seulement de l'intégration, dans la console centrale, d'un nouvel écran tactile et d'un combiné à affichage digital. Nouveau moteur essence Sous le capot, une vraie nouveauté avec le remplacement du six cylindres Si6 par le 4 cylindres suralimenté Si4 venu de l'Evoque. Mais il ne nous concernera qu'à la marge en France, car ses 240 ch sont nourris au supercarburant et ses 224 g/km de CO2 le plombent définitivement pour son malus de 2 300 € (pour cette année, probablement à la hausse en 2013). En diesel, on retrouve le 2.2 TD4 de 150 ch en 4x2 (158 g) ou 4 x 4 (165 g) et en 190 ch (4 x 4 uniquement, 185 g). Les tarifs ne devraient pas subir d'inflation.
Sources:www.lepoint.fr