En attendant que vienne une appli qui sache dessiner les constats à votre place (e-constat en France et Assuralia en Belgique y travaillent), rien de tel qu’un accrochage avec un designer. En quelques jours, ce post sur LinkedIn a atteint près de 3.000 likes et un nombre conséquent de partages.
A moins que, comme souvent, il s’agisse d’un post prémédité pour devenir viral, ne correspondant à aucune réalité. Si le pari est souvent gagnant, le concept est à manier avec précaution dès qu’on y engage une marque.
Mais dans ce cas précis, aucune marque n’est présente, et aucune des fautes classiques du bad buzz n’est à mentionner. En général, la récupération d’un fait d'actualité, le sexisme, ou la stigmatisation (d’une destination touristique par exemple) exposent en effet les auteurs à une réaction négative sur les réseaux sociaux.
Le seul bénéficiaire semble être la personne à l’origine du post ou du premier partage, cette dernière (non reprise dans cet article) disposant déjà de plus de 99 recommandations (endorsements) pour ses compétences en… "réseaux sociaux" sur LinkedIn.